La stratégie de l’Open Dialog pour piloter à haute vitesse dans le brouillard
Par Ideactif, le 19/01/2022Après bientôt deux ans de perturbations profondes du monde économique et sociétal, deux types de décisions tentantes mais dramatiques guettent les dirigeants d’entreprises.
La première erreur à commettre est la mise en apnée, dans l’attente d’un redémarrage de l’économie à court terme. Le principe de vagues du covid a certes démontré qu’il existait des fenêtres de tir pour relancer le business, mais qu’elles étaient immédiatement refermées par la vague suivante. Vague qui se caractérise à chaque fois par sa singularité, avec ses propres contraintes, son propre impact sur le fonctionnement général. L’attentisme, associé à la disparition rapide des aides qui ont protégé un temps le pouvoir d’achat et l’outil de production sont synonymes d’échec définitif à court terme.
La deuxième erreur consiste en une adaptation simpliste et opportuniste aux contraintes de l’époque en faisant l’apologie de l’ersatz ou du mieux que rien.
La « phygitalisation » des événements, néologisme qui n’a d’attractif que le nom, ne constitue qu’un gadget bas de gamme : subir seul devant son écran ce que nous vivions jadis dans l’état si particulier et euphorisant qu’est l’être ensemble, s’avère totalement contre-productif quand il s’agit d’imposer à des collaborateurs, des distributeurs ou même le grand public un discours lénifiant et mal mis en valeur.
Si la pandémie n’est considérée par les décideurs que comme un épisode pénible dont on finira par sortir sans efforts réels d’analyse de marché et de mutation, le réveil ne peut être que très douloureux. En effet, sur quelles bases crédibles seront bâtis demain les plans d’entreprises n’ayant que des données parcellaires sur l’évolution des comportements d’achat ?
Bien plus grave, la perte de contact avec leurs marchés pourrait coûter la vie à bon nombre d’entreprises qui n’auront même plus les moyens propres pour se relancer.
En effet, aucune étude pour se repositionner ne remplacera la vérité des chiffres d’affaires sauvegardés. En matière de business, rien n’est plus fort que la réalité des faits pour valider les bonnes décisions.
Phénomènes conservateurs d’autant plus amplifiés que dans le doute et face à l’opacité, c’est vers les vieux réflexes de communication et de commercialisation que les annonceurs se tournent classiquement.
A ce titre, le digital, les vieux média, le trade marketing, autant de canaux jalonnant le parcours de ce qui reste possible dans la vie de chacun, auront été abondamment exploités faute de mieux. A titre d’exemple, surinvestir le trade marketing, tue le trade marketing et encourage une spirale destructrice de valeur.
Ces adaptions sont uniquement tactiques et opportunistes, créant un encombrement qui en atténue l‘efficacité.
C’est sans doute la fin annoncée des stratégies en silo, simplistes et inefficaces dictées par l‘organisation d’un marché du conseil et de la com désormais inadapté, bien trop désordonné et manquant de cohérence face aux enjeux majeurs du moment.
Le cycle même de l‘innovation tel qu’on le connaissait est désormais obsolète. A la vitesse où les comportements changent aujourd’hui, tout est trop long, trop lourd et aboutit à un résultat nécessairement décevant.
Nécessité fait loi, il n’est qu‘à observer l’incroyable mutation des mœurs dans l’industrie pharmaceutique qui désormais peut réagir dans un Cycle de trois à six mois vs les 4 à 5 ans traditionnels face à l’évolution sanitaire mondiale en acceptant un ajustement permanent des réponses quand il s’agit de proposer une offre efficace face à une menace majeure dont on apprend à connaître la toxicité évolutive au jour le jour.
L’urgence est une dynamique instantanée surpuissante où l’on compense le manque de temps par la rapidité de flux d’informations pour analyser les données et piloter à vue.
Et c’est bien de pilotage qu’il s’agit, avec sa part de virtuosité et d’adresse mentale nécessaires au succès.
Là comme en ski, en formule 1 ou sur les mers en quête d‘un Vendée Globe, c‘est le couple formé entre les outils et les équipes de l’agence d’une part et les dirigeants d’entreprises d’autre part, qui fait toute la différence et permet de trouver le rythme optimale d’anticipation, de prise d’info, d’analyse, de synthèse, de décisions et donc d’actions décisives et réussies.
C ‘est bien dans cet esprit de mouvement permanent que s‘est organisée toute l’activité du groupe ideactif depuis 2020, pour offrir à ses clients une capacité accrue d’action et un pilotage à haute vitesse de l’ensemble de ses campagnes et interactions avec les publics cibles.
Plus question désormais de se limiter aux points de contact et à la stratégie des moyens, profession de foi obsolète des agences média faisant fi du fond des messages. Plus possible non plus de limiter l’action aux stratégies intrusives des GAFAS, aussi invasives qu’imparfaites dans leur tracking permanent et leur insistance insupportable à ensevelir les internautes sous les sollicitations opportunistes.
Non, désormais, l’enjeu majeur est d’assurer une très grande proximité avec les publics tout en intégrant en permanence la créativité, la singularité, la pertinence dans les différentes campagnes et interactions proposées. Seule une approche hollistique permet de relever un tel défi, avec une méthodologie d’ajustement permanent aux objectifs, permettant de coller aux changements de fond incessants.
Identifier, collecter de l’information en temps réel, générer une stratégie d’actions multicanale, travailler en permanence le triangle offre affinée/singularisation et personnalisation des messages/modelage de l’image, voici en quelques lignes le sens et l’action menés par le groupe ideactif dans ses campagnes.
Toutes les compétences sont assemblées, regroupant, au sein d’équipes dédiées, des profils spécifiques, qui constituent un corps complet de réponses opérationnelles en temps réel.
Raccourcir à quelques mois un cycle de décision /action /conversion client tout en offrant une diversité complète de canaux d’échanges et d’interactions dont l’alimentation se fera pour obtenir le plus fort taux de succès, voilà la promesse que le groupe Ideactif fait aujourd’hui à ses clients
Les ROI enregistrés peuvent en fonction des potentiels marchés s’avérer exceptionnels.
Des équipes spécialisées en data mining, capables d’identifier, géolocaliser et parfaitement qualifier les cible interviennent aux cotés des équipes de tracking digital, de scénarisation et d’influence.
Les expériences et rencontres toujours possibles, sur les lieux de vie, espaces d‘achats sont en permanence re-designées et mises en œuvre en fonction de l’évolution des contextes concurrentiels et environnementaux.
L’apport de l’IA dans l’analyse en temps réel de l’ensemble des datas collectées et l’analyse permanente des kpi’s permettent une optimisation rapide des campagnes.
Pour atteindre un tel niveau de performance, les choix du groupe ont été radicaux dans l’intégration d’une majorité de compétences.
Les process de travail collaboratif sont en évolution permanente en format «open dialog» capables de réunir en temps réel l’ensemble des acteurs clefs du marché pour tout de suite éclairer la route si changeante. Cette polyphonie harmonisée entre les spécialistes métiers /marché et les référents directs de nos client en charge du pilotage de la stratégie permet une activation rapide, instructive et décisive.
C’est la raison pour laquelle le groupe connaît non seulement un taux de fidélisation exemplaire de ses clients mais s’inscrit surtout dans une croissance forte de l’ensemble de ses métiers tout en opérant avec succès une rapide diversification.
Arnaud Peyroles – Président fondateur du Groupe ideactif